Ce sentiment, je le connais dans ce que je vis sur
mon lieu de travail. Je l'ai particulièrement relevé à l'approche de mon
ordination. De la joie s'est exprimée quand cela s'est su que bientôt l'évêque
m'imposerait les mains pour m'ordonner diacre. J'ai ressenti la même joie à mon
travail que celle qui a traversé la paroisse et pourtant la direction informatique
qui m'emploie n'est pas un lieu d'expression de la foi.
Quand le ciel rejoint la terre, il y a de la joie.
C'est inexplicable aux yeux du monde et c'est naturel quand on sait que tout
homme est créé à l'image de Dieu. Quand le Seigneur passe, le corps de tous les
êtres humains vibre à l'unisson de sa présence.
C'est pour cela que le 23 novembre, Monseigneur
Ricard rassemble toutes les EAP de son diocèse pour partager sur la nouvelle
Évangélisation, sur tout ce qui se fait dans ce domaine dans les différents
secteurs.
Le monde espère une Bonne Nouvelle. N'ayons pas peur
de dire que ce qui interroge les femmes et les hommes que nous rencontrons est
en eux. Ne craignons pas de dire que Dieu est un Père qui les cherche. N'ayons
pas peur de nous risquer à la périphérie, Le Christ y est déjà, il nous précède
en Galilée et il nous demande d'être les témoins de sa présence dans toutes nos
rencontres. Dans nos rencontres les plus inattendues, dans nos rencontres les
plus éloignées du centre.
Il ne s'agit pas de développer une catéchèse, ni
d'expliquer la foi, le temps viendra. Il s'agit juste d'être là et de se
réjouir de la présence du Seigneur.
Et comme le développe le cardinal Ricard, mettons un pied dans
l'entrebâillement de la porte. Laissons la porte de l'Église ouverte pour qu'on
y entre et pour que nous sortions pour l'aventure de l'annonce de la Bonne
Nouvelle.
Dominique, diacre.
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