Les annonces de la semaine

Prières et Sacrements

Prions pour nos frères défunts : Yvonne DOMECQ, Antonio GONZALEZ et Ginette BÉAGUE

Messe de la Saint Jean Bosco, mercredi 29 janvier à 18h30, suivie d’un pot salle St Jean organisée par la commission pastorale de l’Institut Don Bosco, la paroisse de Gradignan et les Salésiens Coopérateurs de Sud-Ouest.

L'Institut Don Bosco est une association laïque qui a un lien historique avec la congrégation des Salésiens de Don Bosco. La commission pastorale propose de vivre ce temps de célébration pour et avec les enfants porteurs de handicap ou en grande fragilité socioéducative. 

La messe sera concélébrée par Vincent Garros, curé et Xavier Ernst sdb, curé de la paroisse Don Bosco de Paris.

 

Préparation au mariage : Petit déjeuner B’abba « Se marier ça change quoi ? » samedi 1er février à 9h30 salle St Jean.

 

Prier l'Evangile avec Marie : Vous désirez connaitre ou intégrer les équipes du Rosaire ? Vous serez accueillis à leur rencontre de prière
commune le samedi 25 janvier à 15h salle St Jean.


Le Sacrement des Malades est proposé le dimanche 9 février, au cours de la messe de 10h. Merci de vous manifester si vous souhaitez le recevoir.

 

Préparation au baptême : Les catéchumènes et leurs familles, leurs amis, les responsables des groupes qui les accompagnent, mais aussi tous les paroissiens sont invités à un apéritif dinatoire B’ABBA,

le vendredi 7 février, autour du thème « Avis de recherche » 19h30 salle St Jean.

Pour faciliter l’organisation, autant que possible, merci de s’inscrire au
secrétariat.

Vie fraternelle

Quête au profit des lépreux, samedi 25 et dimanche 26 janvier,  organisé par l’ordre de Malte.

 

Concert de Résonances : dimanche 26 janvier à 17h. « Magnificat » de Francisco Durante et « Christmas Carols », Noël traditionnels américains.

 

Réunion des membre de l’EAP, jeudi 30 janvier à 20h salle St Jean.

 

Forum avec l'association St Pierre, dimanche 2 février à 11h salle St Jean.

Présentation du Seigneur au temple - Dimanche 2 février

Cette année, pour vivre la chandeleur accompagnée de ses traditionnelles crêpes, nous vous proposons une action originale. Connaissez-vous l’association « AUTOUR D’UN CRÊPE ? »

L’association a été fondée en mai 2017, par Carol et Jean-Luc PLÉTAN. Elle a pour but de vendre des crêpes sucrées pendant des événements sportifs et culturels au profit d’autres associations caritatives et humanitaires.
Elle met aussi en place plusieurs opérations ponctuelles de vente de crêpes.
« L’opération Crêpes Solidaires », le samedi 1er février en fait partie.
Pour l’année 2025, l’association « Autour d’une crêpe » soutiendra les associations SOS Méditerranée (Bordeaux), Neuf de Cœur (Pessac), Les Robins de La Rue (Bordeaux), La Maison d’Elizabeth (Bordeaux), Mamou Partage Solidarité (mission au Burkina Faso).
 
Samedi 1er février, de 14h à 19h, place Roumégoux à Gradignan, 4ème édition de l’opération « Crêpes Solidaires » Plusieurs associations qui ont un projet humanitaire à l’étranger et des associations de danses seront réunies pour créer un marché solidaire, ponctué de spectacles de danses aux couleurs du monde.
 
L’association bénéficiaire de la vente des crêpes est Mamou Solidarité Partage (MSP – association reconnue d’utilité publique, créée en l’an 2000, à Salles, Gironde)
Dans un 1er temps, l’association fixée dans la province du Mouhoun-Balé (centre nord-ouest du Burkina Faso), y développa l’aire sanitaire de Siralo (mise en fonc-tion d’un dispensaire) regroupant sept villages de brousse pour une population d’environ huit mille habitants.
Dans un second temps, ont été privilégiés des projets générateurs d’activités pérennes et rémunératrices : jardins potagers, apiculture, menuiserie et plus récemment la mise en route d’ateliers de meunerie et de tissage. Pour ces der-niers les femmes ont été maîtresses d’œuvre, se regroupant dans des associa-tions de près de cinq cents membres. Elles y ont trouvé l’émancipation et l’autonomie financière qu’elles recherchaient.

Vous pouvez commander vos crêpes, avant le vendredi 31 janvier, auprès de Jean-Luc PLÉTAN au 06 67 06 39 06 ou par mail au jlpletan@gmail.com
Elles seront à retirer sur la place Roumegoux, samedi 1er dans l’après-midi.

Les noces de Cana

 La vie publique de Jésus commence, dans l'évangile de Jean, par une des circonstances les plus joyeuses de la vie humaine. Les Noces de Cana... (Jn 2, 1-12) Dès le verset 5, je bute sur un problème. La présente traduction et beaucoup d'autres font dire à la mère de Jésus : « Tout ce qu'il vous dira, faites-le. » Eh bien, c'est une erreur, à la fois matérielle et spirituelle si je puis dire.

Une erreur matérielle d'abord : le mot « tout » ne figure ni dans le premier texte grec, ni dans la Vulgate latine, ni dans d'autres traductions (anglaises, allemandes, etc.). Il disparaît aussi dans certaines traductions françaises plus récentes... J'ose dire que ce « tout » est une erreur. Ici, je n'interprète pas, je constate.

Le texte original comporte en revanche un petit mot, une particule ‘an’ qu'on traduit rarement, mais qui donne à la phrase la couleur de l'éventualité : « le cas échéant » ... On peut entendre, me semble-t-il : « Ce qu'éventuellement il vous dira » (O ti an lege) : “Ce qu'il pourrait vous dire”...

Fine charnière du texte, le mot employé « quoi que », ou « tout » est à mon sens une erreur spirituelle - et là, j'interprète. Il me semble que l'obéissance « totale » n'est pas du goût de Marie, ne correspond pas à ce que par ailleurs il est dit d'elle. Même l'archange Gabriel s'y est frotté : il lui a d'abord proposé de concevoir elle seule un fils de Dieu : « Voici : tu concevras dans ton sein et tu enfanteras un fils, et tu appelleras son nom : Jésus. [...] il sera appelé fils du Très-Haut [...] Il règnera sur la maison de Jacob pour l'éternité. (Lc 1, 31-33) » Or, elle ne dit pas son fameux « fiat » à ce moment-là, elle ne succombe pas à cette tentation de toute-puissance. Elle lui oppose au contraire (littéralement) : « Comment cela sera-t-il, puisqu'un homme je ne connais pas ? » Elle veut de l'autre. Alors, l'ange change de discours. Apparaît bien un autre, annoncé ainsi : « Un esprit saint viendra... » Elle ne concevra pas toute seule. Marie n'a donc pas commencé par dire oui. Elle interroge et oppose l'impossible.

Revenons à ce mot apparemment anodin ajouté par les traducteurs : « tout ». Pourquoi Marie demanderait-elle aux serveurs une obéissance totale qu'elle-même n'a pas pratiquée, même envers un messager divin ?

Le lecteur pourrait m'objecter : est-ce que vous n'exagérez pas l'importance de ce petit mot : « tout » ? est-ce si grave ? Je vais citer un passage d'un théologien (Joël MOLINARO) qui s'est penché sur les abus sexuels dans l'Église : « Souvent la figure de la Vierge Marie est utilisée. Elle incarne, chez les abuseurs, l'obéissance servile à la volonté de Dieu, elle est celle qui dit toujours oui. Les prédateurs la transforment en une figure réclamant la soumission ("Tout ce qu'il vous dira, faites-le"), ce qui est très différent de l'obéissance librement consentie.... « Ce qu'il vous dira, éventuellement, faîtes. »
Marie BALMARY
 Ce lieu en nous que nous ne connaissons pas.
Albin Michel 2024

Signe à Cana / Jn 2 1-11 / Une homélie


 
Jésus change l’eau en vin.
Tout le monde sait ça, c’est le miracle le plus connu, le plus populaire de Jésus. On en a fait des chansons, on l’a aussi beaucoup tourné en dérision.
Un miracle, ça devrait être quelque chose de spectaculaire, un évènement merveilleux et inexplicable, qui provoque l’admiration des témoins. « Miracle », « merveille », « admiration »… tout ça vient du même mot*.

Alors regardons un peu comment ça se passe à Cana : Une noce, pas de vin, une femme qui le signale à Jésus et Jésus qui propose un itinéraire : Il y a là de grandes jarres en pierre qu’il faut d’abord remplir d’eau.
Les serviteurs vont puiser de cette eau et la portent au maître du repas. Quand celui-ci va la boire, ce sera du vin, du bon vin.

S’il y a un miracle, où et quand a-t-il eu lieu ? S’il y a un miracle, qui en a été témoin ?
Dans les jarres, il y a de l’eau. Et de l’eau pour toujours. Jésus ne fait pas de 600 litres d’eau, 600 litres de vin. Dans le pichet du serviteur ? De l’eau puisée dans les jarres. Mais dans la bouche du maître du repas : du vin. C’est là et uniquement là que le vin nouveau se révèle.

Qui en est témoin ? Pas les invités qui ignorent même qu’il y a un problème de vin. Pas le marié qui semble spectateur à ses noces. La mariée ? Elle n’est pas là. Les disciples ? Marie ? On ne sait pas… ils disparaissent du texte. Le maître du repas ? Non plus, il ignore d’où vient ce vin et ça ne l’intéresse pas.
Les seuls qui peuvent s’étonner de quelque chose, se sont les serviteurs, car eux savent très bien qu’ils ont tirés de l’eau des jarres et ils entendent pourtant le maître parler de vin.

S’il s’agissait de faire un miracle, un coup d’éclat, c’est donc raté !
Rien de spectaculaire, rien pour épater l’assistance, rien qui fasse parler de lui. Le texte ne parle pas de miracle, il parle de « Signe ». Ce que Jésus fait à Cana, ce n’est pas un miracle, c’est un signe.
Le signe le plus discret, le plus silencieux, le plus modeste que l’on puisse imaginer.
Un signe qui ne fait signe que pour des serviteurs muets. Pour des serviteurs obéissants. Des serviteurs qui ne boiront pas de ce vin, mais qui auront des oreilles pour en entendre parler.

Je ne bois jamais de vin. Je n’aime pas ça. Je suis incapable de faire la différence entre du bon vin et du mauvais. Mais je sais bien la différence entre de l’eau et du vin. Je sens bien la différence entre ce qui n’a pas de goût et ce qui en a. Nous savons tous faire la différence entre ce qui n’a pas de goût et ce qui en a.

Nos vies parfois n’ont plus de goût. Les paroles que nous entendons perdent leur saveur. Nous avons l’impression d’être condamnés à ne nous abreuver qu’au robinet d’eau tiède du discours ininterrompu du monde.
Parfois, il nous semble que c’est notre foi qui n’a plus de goût, qu’avec le temps, nos prières sont devenues insipides, répétitives. Nous ne recevons plus de l’Evangile qu’une boisson banale et plate. Nous avions de belles jarres pourtant, grandes, solides, imposantes, mais elles se sont taries peu à peu, et elles ne contiennent qu’un peu d’eau, désormais inutile.

Il se pourrait alors que Jésus vienne faire signe. Qu’il remette du goût. Et que ce goût soit bon. Ce n’est pas du goût pour l’ivresse, c’est simplement du goût pour la Joie.
Mais ce n’est pas un miracle, il ne faut pas attendre de miracle de sa part, son truc à lui, c’est le signe. Un miracle, ça s’impose, ça éblouit, ça écrase tout sur son passage. Un signe, ça se cherche, ça s’interprète, ça se lit, ça nous laisse libres.

Un jour, sans qu’on s’y attende, un mot insipide entre dans nos oreilles, et voilà que dans notre oreille, il prend du goût, voilà qu’il nous réjouit sans qu’on sache pourquoi.
Un geste banal touche notre main, et voilà que, dans notre main, il a du goût, et du relief, et du corps.
Un verset de l’Evangile est partagé avec un frère, et ce que l’on croyait connaître par cœur et qui nous semblait plat et usé, dans notre cœur, devient savoureux, et redevient énigme, et retrouve du poids.
        Alors le Seigneur manifeste sa Gloire.

Peu d’entre nous seront miraculés, mais tous nous sommes sous le registre du signe.
A chaque fois que nous savons reconnaître l’irruption du goût dans les eaux plates de nos vies, alors c’est le signe que nous sommes aux noces.

Et l’époux, c’est le Christ, et l’épousée, c’est nous.
╬ Amen
Sylvain diacre
*du latin mirus "étonner"

325, il y a 1700 ans, un premier Concile Général !

     L’empereur Constantin convoque à NICÉE, en l’an 325 un concile qui va regrouper près de 300 évêques d’Orient et d’Occident. Il fut le premier des 21 conciles œcuméniques, universels, de l’histoire. Si seul, l’empereur à cette époque avait suffisamment d’autorité pour rassembler tant d’évêques, il leur a laissé toute liberté. Ce premier concile avec les trois autres qui suivront : Constantinople, Éphèse et Chalcédoine, a une importance majeure car c’est là que s’élaborent les dogmes fondamentaux de l’Église relatifs à la nature du Christ, la Christologie, et à la Trinité.

    Ce concile a eu pour objectif de définir l’orthodoxie, l’opinion juste et droite, face à différentes théories sur la nature du Christ : le modalisme, le subordinatianisme et surtout l’hérésie, ou ‘choix’ soutenue par Arius, prêtre d’Alexandrie qui eut beaucoup d’audience. L’empereur voulait mettre fin aux dissensions et querelles intestines qui divisaient les différentes églises. Le concile se réunira du 19 juin au 31 juillet dans le palais d’été de l’empereur à Nicée, aujourd’hui Isnik, en Turquie.

    En opposition aux thèses d’Arius, le concile de Nicée va définir la divinité du Christ. Les évêques vont rédiger un ‘symbole de foi’ commun et solennel. Ce symbole s’appuie sur le Symbole de Jérusalem, qu’il va développer et préciser. Ce Crédo, comme l’appelle les occidentaux, sera repris et développé au concile suivant de Constantinople. L’affirmation majeure de ce symbole est qu’il n’y a pas de subordination du Fils au Père et qu’ils sont ‘unis’. C’est ce que définit le qualificatif ‘homo-ousios’ – consubstantiel.

    Si les thèses d’Arius furent condamnées, elles continuèrent à circuler pendant de nombreuses années, combattues par ceux que l’on proclamera docteurs de l’Église: Hilaire de Poitiers, Basile de Césarée, Grégoire de Nysse et Grégoire de Nazianze.

    Cette année 2025 fête donc les 1700 ans de ce concile majeur dans l’histoire de l’Église. Que cette année, marquée aussi du jubilé de l’Espérance nous fasse redécouvrir la richesse de ce symbole et ce qu’il apporte à notre foi. Jésus, pleinement homme, mort et ressuscité est de même nature que le Père, pleine-ment Dieu. « Puissions-nous être unis à la divinité du Christ qui a pris notre humanité ! » (De la prière de la présentation des offrandes).


Vincent GARROS, d’après Yves CHIRON, l’histoire des conciles, 2011

Le peuple venu auprès de Jean le Baptiste était en attente / Lc 3 15-22 / Une homélie

Le peuple attendait qui ? Le peuple attendait quoi ? La question qu'il se pose en lui-même nous éclaire. "Si Jean n’était pas le Christ." Mais pourquoi attendent-ils le Christ ? Qu'attendent-ils du Christ ?
En ce temps-là, le peuple vit dans la crise économique. Les pouvoirs s'empilent et prélèvent chacun des impôts diminuant ainsi le pouvoir d'achat et pénalisant la consommation. En ce temps-là, le peuple vit dans l'insécurité, Le territoire sont occupé par les romains et les révoltes sporadiques sont matées violemment.

Alors le peuple se rassemble autour de Jean le Baptiste qui pourtant ne propose ni solutions économiques, ni programmes politiques. Jean le Baptiste appelle à une conversion. Il demande simplement à chacun de se reconnaître pécheur et de se fier à la miséricorde de Dieu.

Chacun est appelé à se laisser regarder par Dieu et pour marquer cette conversion, à être plongé dans l'eau boueuse du Jourdain.

Jean le Baptiste, s'efface déjà devant celui qui vient. Il perçoit lui-même sa petitesse. Lui le précurseur, il annonce que le baptême de Jésus sera plus puissant que le sien : "Lui vous baptisera dans l’Esprit Saint et le feu."

Et de fait, nous les baptisés, avons été plongés dans la mort et la résurrection de Celui qui vient sauver l'humanité embourbée.

En 2025, le peuple vit dans la crise économique, dans la violence qui gangrène les quartiers défavorisés, dans l’instabilité politique qui génère l’inquiétude.

La consommation augmente dans des proportions déraisonnables bien au-delà de ce qui peut être acquis et produit. Elle augmente au détriment de la planète qui voit ses ressources s’épuiser. A la crise économique s'ajoute donc la crise écologique. Le cyclone Chido qui a dévasté Mayotte en est un symptôme. Le changement climatique n’est plus une perspective, nous vivons concrètement ses conséquences.

En 2025, le peuple vit dans un environnement qui se détériore.
Autant dire que l'époque n'est pas réjouissante.
Alors presque comme au temps de Jésus, nous nous rassemblons, ici autour de cet autel, invités par celui qui vient nous sauver.

Mais contrairement à ceux qui venaient auprès de Jean le Baptiste, nous nous avons été baptisés dans l'Esprit saint et le feu.

Nous sommes témoins pour nous de la rencontre avec le Père qui s'adresse à nous mystérieusement et nous dit chaque jour que nous vivons notre baptême : "Toi, tu es mon Fils bien-aimé ; en toi, je trouve ma joie." Le baptême en Jésus Christ fait de nous des frères en Jésus. Cette phrase : "Toi, tu es mon Fils bien-aimé ; en toi, je trouve ma joie." Elle est d’actualité, elle s'adresse sans cesse à nous.

Et cette joie qui anime le Père, fait grandir en nous l’Espérance et nous transforme en pèlerin comme nous y invite François.

Nous les baptisés chrétiens, mobilisons-nous au service du bien commun, de la paix, de la fraternité. Nous ne sommes pas en dehors de ce monde.

C’est au moment où les temps sont difficiles que nous avons la belle mission d’être, selon l’expression du Pape, des « pèlerins de l’espérance ». C’est dans la nuit que brille la lumière de l’Espérance.

Cette Espérance, « contenue dans le cœur de tous les baptisés comme un désir et une attente du bien » n’est ni un optimisme de commande, ni une illusion réconfortante ou le vague espoir de « lendemains qui chantent ». Elle n’est pas non plus la promesse de solutions toutes faites. Elle se situe à un autre niveau. L’Espérance repose en définitive sur la certitude du salut en Jésus-. Elle repose sur la promesse de Jésus d’envoyer l’Esprit-Saint celui-là même qui répand l’amour dans les cœurs.

Vive flamme, ma seule espérance :
que mon chant parvienne jusqu’a toi.
de ton cœur jaillit la vie divine,
sur la route j’ai confiance en toi.
Amen !
Dominique Bourgoin, diacre